Nommer les choses.
Savoir nommer les choses. J'écoutais quelqu'un parlé de peurs, et ça m'a fait réfléchir. Il est vrai que nous nommons indirectement nos peurs la plupart du temps.
Nous dirons : j'ai peur du noir.
J'ai peur des hauteurs.
J'ai peur des grands espaces.
J'ai peur des ascenseurs.
J'ai peurs des inconnus.
Ce ne sont que quelques exemples.
Lorsque nous disons avoir peur du noir, en fait nous avons peur de ce qui pourrait se cacher dans le noir. Ce n'est pas tant la noirceur que ce qui s'y trouve qui nous font peur.
Peur des hauteurs est en fait la peur de tomber! Ce n'est pas la hauteur qui effraie, c'est la chute.
Peur des grands espaces. C'est la peur de se perdre. Dans les grands espaces il y a moins de repère, donc on peut facilement se perdre.
Vous comprenez le principe. Je crois qu'en nommant correctement ces peurs ont peut plus facilement les affronter. Les diluer.
Des peurs nous en avons tous. Elles nous limitent, nous terrifient, nous figent. Elles nous empêchent d'aller vers une quelconque direction. Le plus souvent elles se faufilent dans notre esprit et tissent lentement des toiles. Il est temps de faire le ménage. Les nommer, les affronter, les sortir de notre tête. Parce qu'en fait c'est là qu'elles se trouvent : dans notre tête!
Peu importe la peur, si elle vous empêche d'aller où vous voulez vous rendre, elle vous limite!
Je vous pose donc une question: Voulez vous être limité?
Moi non!
Nous dirons : j'ai peur du noir.
J'ai peur des hauteurs.
J'ai peur des grands espaces.
J'ai peur des ascenseurs.
J'ai peurs des inconnus.
Ce ne sont que quelques exemples.
Lorsque nous disons avoir peur du noir, en fait nous avons peur de ce qui pourrait se cacher dans le noir. Ce n'est pas tant la noirceur que ce qui s'y trouve qui nous font peur.
Peur des hauteurs est en fait la peur de tomber! Ce n'est pas la hauteur qui effraie, c'est la chute.
Peur des grands espaces. C'est la peur de se perdre. Dans les grands espaces il y a moins de repère, donc on peut facilement se perdre.
Vous comprenez le principe. Je crois qu'en nommant correctement ces peurs ont peut plus facilement les affronter. Les diluer.
Des peurs nous en avons tous. Elles nous limitent, nous terrifient, nous figent. Elles nous empêchent d'aller vers une quelconque direction. Le plus souvent elles se faufilent dans notre esprit et tissent lentement des toiles. Il est temps de faire le ménage. Les nommer, les affronter, les sortir de notre tête. Parce qu'en fait c'est là qu'elles se trouvent : dans notre tête!
Peu importe la peur, si elle vous empêche d'aller où vous voulez vous rendre, elle vous limite!
Je vous pose donc une question: Voulez vous être limité?
Moi non!
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