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Affichage des messages du août, 2017

Ces gens

Il existe des êtres qui nous transportent, d'autres qui nous envahissent, d'autres encore qui nous font rayonner. Puis il y a ceux qui nous confrontent dans nos limites. Non pas dans ce qu'on désire mais dans ce qui nous répugne. Des êtres qui absorbent notre énergie nous donnant une amertume dans la bouche. Un mal d'être en leur présence. S'il est vrai qu'on se reconnaît à travers l'autre, il est vrai également le contraire. Quand l'optimiste fait face au négatif, il y a toujours un vainqueur. Ce n'est pas un combat de force, c'est un combat de pouvoir. L'un veut écraser, ternir, l'autre veut éclairer, alléger. Cependant ils ne peuvent exister ensemble. Si l'énergie est atomique soit un prendra ou perdra un électron. Dès lors il y a victoire pour un des deux. Alors la sagesse est de s'éloigner de ces êtres néfastes. Le négatif entendre le négatif, comme le positif engendre le positif. Voilà où réside le pouvoir, dans le choix

Nommer les choses.

Savoir nommer les choses. J'écoutais quelqu'un parlé de peurs, et ça m'a fait réfléchir. Il est vrai que nous nommons indirectement nos peurs la plupart du temps. Nous dirons : j'ai peur du noir. J'ai peur des hauteurs. J'ai peur des grands espaces. J'ai peur des ascenseurs. J'ai peurs des inconnus. Ce ne sont que quelques exemples. Lorsque nous disons avoir peur du noir, en fait nous avons peur de ce qui pourrait se cacher dans le noir. Ce n'est pas tant la noirceur que ce qui s'y trouve qui nous font peur. Peur des hauteurs est en fait la peur de tomber! Ce n'est pas la hauteur qui effraie, c'est la chute. Peur des grands espaces. C'est la peur de se perdre. Dans les grands espaces il y a moins de repère, donc on peut facilement se perdre. Vous comprenez le principe. Je crois qu'en nommant correctement ces peurs ont peut plus facilement les affronter. Les diluer. Des peurs nous en avons tous. Elles nous limitent

Au gré des aujourd'hui

La Vie se vit au gré des aujourd'hui. Je calque mon rythme sur le moment présent. Tantôt il est rapide et intense, quand le soleil brille de mille feux. Tantôt il est lent et mélancolique, quand la pluie glisse sur mes fenêtres. Lorsque la lune pleine à son apogée, luit dans la nuit éteignant les étoiles. Je deviens alors poésie. Quand l'orage frappe et fend le ciel de sa rage, grondante menace, je deviens sauvage. Je ne m'adapte pas aux aujourd'hui qui viennent, avec bénédiction chaque matin, car j'en fais partie. Je suis un tout, en tout. Rien n'est dissociable et pourtant tout est unique.

Générosité

Saviez vous qu'être généreux est en fait égoïste? En donnant on se fait un bien immense. Quand on fait plaisir à quelqu'un c'est à nous qu'on fait plaisir. Le cerveau génère des hormones de bonheur, de bien être. Plus on donne sans attentes, sans buts, juste pour donner, plus on est enclin à chercher encore et encore cette sensation. Ça devient une drogue, naturelle. Être généreux rend heureux. Ceux qui ne donnent jamais deviennent à petit feu, aigres. Sentir qu'on a fait plaisir, qu'on a rendu service, qu'on était, l'espace d'un instant, utile, ça envoie des informations au cerveau qui peut être en récompense, nous offre sa dopamine. Alors on en veut encore, parce que ça fait un bien fou! Si vous ne me croyez pas, pourquoi ne pas valider par vous même cette approche. Soyez égoïstement généreux!